L'HERBIER DU DIOIS
Tout a commencé à la ferme du Touret à la fin des années 1970, où deux familles ont démarré une exploitation de plantes aromatiques. Puis au fil des ans, avec de plus en plus de clients (herboristes, agro-industriels,…), la ferme s’est développée pour devenir collecteur/préparateur et élargir sa gamme de plantes. Et c’est en 2000 que l’entreprise s’est agrandie pour suivre le développement des produits biologiques en France et à l’étranger. Aujourd’hui, elle est devenue une société semi-industrielle avec une équipe de 60 salarié·e·s.
Informations de contact
- Auvergne-Rhône-Alpes
- Matières premières :
Une démarche de commerce équitable
L’Herbier construit des partenariats stables avec ses fournisseurs pour leur donner un maximum de visibilité et faciliter leur développement. Dans une même dynamique, il est important pour L’Herbier du Diois d’attester vis-à-vis de ses clients avec lesquels est développé un lien de confiance, des démarches équitables, solidaires et responsables, pour qu’à leur tour, ils puissent communiquer avec la plus grande transparence vers les consommatrices et les consommateurs.
Les engagements
Chaque année se tient le rendez-vous annuel entre producteur⸱rice⸱s/cueilleur⸱euse⸱s, L’Herbier et ses clients partenaires pour un suivi des filières. C’est à ce moment-là qu’est abordé le sujet d’utilisation du fonds de développement pour monter des projets utiles aux paysannes et paysans. Il peut s’agir par exemple d’acheter des emballages recyclés, d’organiser une journée de démonstration technique, de planifier un voyage d’étude, de prévoir une formation…
Les impacts sociaux et environnementaux
Certains des champs bordent l’entreprise et permettent d’observer la nature se déployer. L’Herbier veille à la préservation des haies, à planter régulièrement des arbres et soigner le jardin botanique qui héberge aujourd’hui plus de 200 espèces. L’Herbier a construit un partenariat avec la LPO (Ligue pour la Protection des Oiseaux) et créé le « Refuge Herbier du Diois » sur le site. L’Herbier s’engage ainsi à accueillir toujours plus d’espèces végétales ou animales autour, valoriser leur patrimoine naturel et s’en servir comme outil pour sensibiliser le public à la nature.
Côté bâtiments, le tout premier de L’Herbier est un lieu de travail agréable et sain de par l’utilisation de matériaux nobles, ou le système de renouvellement de l’air intérieur. Il est aussi fonctionnel car il contient un laboratoire, diverses zones de stockage et des bureaux lumineux.
En 2020 un bâtiment de 1000 m² avec 450 m² d’auvent est sorti de terre, principalement destiné au séchage des plantes. Une partie est même entièrement réservée au stockage du tilleul pendant la saison estivale. Le choix de couvrir le toit de 420 m² de panneaux photovoltaïques a été fait et toute l’énergie produite est intégralement auto-consommée. Un système de captation d’air sous ces panneaux est développé afin d’utiliser les calories offertes par le soleil pour alimenter le séchoir. L’hiver, ce système pourra maintenir le bâtiment à température ambiante.
Côté bâtiments, le tout premier de L’Herbier est un lieu de travail agréable et sain de par l’utilisation de matériaux nobles, ou le système de renouvellement de l’air intérieur. Il est aussi fonctionnel car il contient un laboratoire, diverses zones de stockage et des bureaux lumineux.
En 2020 un bâtiment de 1000 m² avec 450 m² d’auvent est sorti de terre, principalement destiné au séchage des plantes. Une partie est même entièrement réservée au stockage du tilleul pendant la saison estivale. Le choix de couvrir le toit de 420 m² de panneaux photovoltaïques a été fait et toute l’énergie produite est intégralement auto-consommée. Un système de captation d’air sous ces panneaux est développé afin d’utiliser les calories offertes par le soleil pour alimenter le séchoir. L’hiver, ce système pourra maintenir le bâtiment à température ambiante.